ALERTE-ROUGE 🔴 : Des producteurs des films porno sont à masse à Kinshasa pour recruter ,Voici ce que l’on sait

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Kinshasa, RDC

Depuis quelque temps, un phénomène inquiétant attire l’attention de nombreux habitants de la capitale congolaise : la prolifération discrète mais organisée d’activités liées à l’industrie pornographique. Selon plusieurs témoignages recueillis sur le terrain, un réseau de producteurs, originaires notamment du Cameroun, aurait établi ses bases dans certains quartiers populaires de Kinshasa, transformant la ville en un carrefour secret du cinéma érotique.

Les quartiers de Bandalungwa (Bandal) et Barumbu sont régulièrement cités comme les principaux lieux où se déroulent ces castings dissimulés. Selon des sources locales, les recruteurs opèrent souvent dans des appartements privés, sous couvert d’offres d’emploi dans le domaine du cinéma ou du mannequinat. Des jeunes, souvent en quête de travail ou de visibilité, sont attirés par des promesses de gains rapides et d’opportunités internationales.

Ce réseau étranger ne fonctionnerait pas seul. Des voix s’élèvent pour dénoncer la complicité de certains « patriotes » congolais, qui faciliteraient ces opérations en échange de rémunérations ou d’avantages divers. Leur rôle irait de la location de lieux discrets à la mobilisation de jeunes candidats ou candidates, sans toujours les informer clairement de la nature exacte des projets proposés.

Jusqu’à présent, les autorités compétentes n’ont pas encore communiqué officiellement sur le sujet. Pourtant, la montée des vidéos à caractère sexuel tournées localement et diffusées sur internet a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes s’indignent de l’image dégradante que cela renvoie du pays, tandis que d’autres appellent à une réaction urgente pour protéger la jeunesse congolaise.

Il est important de rappeler que la production et la diffusion de contenus pornographiques sont interdites en République Démocratique du Congo. Toutefois, ce vide apparent dans l’application des lois semble avoir été exploité par des groupes bien organisés. Des caméras professionnelles, des mises en scène précises, et même des équipes de tournage seraient utilisées, selon certaines révélations, pour produire des contenus vendus à l’étranger ou diffusés sur des plateformes cryptées.



Ce phénomène soulève plusieurs questions cruciales : comment ce réseau a-t-il pu s’installer en plein cœur de la capitale sans être inquiété ? Quels moyens de prévention ou de répression les autorités peuvent-elles mettre en place ? Et surtout, comment sensibiliser une jeunesse vulnérable aux dangers de ces pratiques ? Kinshasa, ville de culture et de fierté nationale, doit-elle devenir malgré elle le nouveau théâtre de l’industrie pornographique africaine ?

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