RDC – INTOX : La vérité sur la prétendue sextape attribuée à Christelle Muabilu. Serait-elle la femme dans la vidéo virale ? (VIDÉO JOINTE)
Christelle Muabilu faussement associée à une vidéo intime une intox démentie
Une rumeur enflamme les réseaux sociaux depuis plusieurs jours, prétendant que Christelle Muabilu, Directrice Générale Adjointe de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), serait impliquée dans une vidéo à caractère sexuel circulant sur la toile. Après vérification, cette affirmation s’avère totalement infondée.
En effet, la vidéo en question a été massivement partagée sur différentes plateformes, alimentant un buzz numérique autour de l’identité supposée de la femme y apparaissant.
Des internautes ont rapidement pointé du doigt Christelle Muabilu, sans apporter de preuve concrète. Mais selon les recoupements effectués par des observateurs et des analystes de contenus numériques, il s’agit bel et bien d’une fake news montée de toutes pièces.
L’analyse minutieuse des images démontre que la femme apparaissant dans cette vidéo ne correspond ni physiquement ni morphologiquement à Mme Muabilu. Les traits du visage, la corpulence et d’autres détails visibles dans la séquence ne concordent en aucun cas avec ceux de la haute responsable de l’OCC.
Ce type de rumeur n’est pas nouveau sur la scène congolaise. Plusieurs personnalités publiques ont déjà été victimes de tentatives de déstabilisation via des contenus falsifiés ou détournés. L’objectif derrière ces manipulations est souvent de nuire à la réputation ou de fragiliser la position professionnelle des personnes ciblées.
Les autorités congolaises et les spécialistes du numérique appellent à la vigilance et à la responsabilité face à ce genre de désinformation. Le partage inconsidéré de contenus non vérifiés peut non seulement porter atteinte à la dignité humaine, mais aussi avoir des conséquences juridiques pour les auteurs de telles publications.
En conclusion, Christelle Muabilu n’est en aucun cas impliquée dans cette vidéo. Il s’agit d’un montage mensonger, délibérément diffusé dans une logique de nuisance. Cette affaire rappelle l’importance du fact-checking dans un contexte où les fausses informations se propagent à grande vitesse sur Internet.
